Promotec® à Reinach -
La qualité du leader!

Les premiers essais ont toutefois révélé d'importantes faiblesses du procédé japonais de nettoyage à sec. Lors du nettoyage des tuyaux avec du sable soufflé à travers les tuyaux à l'aide d'air comprimé, il n'était possible de nettoyer qu'un temps relativement court. Les forces de déviation dans les coudes des conduites étaient si fortes qu'un trou apparaissait rapidement si le nettoyage durait trop longtemps. 

Il s'est également avéré que le nettoyage ne pouvait se faire que dans un sens, à savoir du petit diamètre de la conduite vers le grand diamètre. Lors du nettoyage dans le sens inverse, les conduites se bouchaient immédiatement et il n'était pas possible de nettoyer dans le sens inverse, avec l'inconvénient de laisser des endroits non nettoyés dans des zones d'ombre.

Pour remédier à ces deux points faibles essentiels du procédé japonais, Promotec a développé et fait breveter en 1992, en collaboration avec un constructeur de machines suisse renommé, son propre procédé de nettoyage. En ajoutant de l'eau, les vitesses du processus de nettoyage sont devenues beaucoup plus faibles et le processus de nettoyage est devenu beaucoup plus doux. Promotec était ainsi le seul fournisseur capable de nettoyer jusqu'à ce que tous les dépôts soient vraiment éliminés.

L'EMPA nous a confirmé qu'il était possible d'appliquer un revêtement irréprochable lors d'un test complet sur une installation de conduites d'un bâtiment de trois étages. Tous les critères d'essai tels que l'adhérence, l'absence de pores, l'épaisseur de la couche, la rugosité des surfaces intérieures nettoyées des tuyaux, le test au brouillard salin pour détecter les infiltrations, le retrait et la résistance à la température ont été entièrement remplis. 

Déçus par le fait qu'une association technique qui se présente comme indépendante ne soit pas prête à examiner un nouveau procédé de réhabilitation peu coûteux, nous avons entre-temps cessé nos efforts pour que notre procédé soit tout de même examiné.

On nous demande régulièrement de présenter un certificat de l'OFSP en tant que rénovateurs de canalisations. Or, depuis une quinzaine d'années, il n'existe plus de procédure de contrôle et donc plus de certificat de l'OFSP. Auparavant, l'OFSP contrôlait et certifiait les matériaux utilisés. Entre-temps, c'est la « responsabilité individuelle » qui prévaut, c'est-à-dire que nous sommes tenus, en tant qu'assainisseurs, de respecter toutes les lois et prescriptions relatives à la législation sur les denrées alimentaires.

Il s'agissait essentiellement d'effectuer un contrôle de qualité compréhensible, afin de pouvoir retracer le processus d'assainissement, etc. en cas de problèmes ultérieurs éventuels. Le plus important est de prélever des échantillons de chaque mélange et de chaque lot de revêtement utilisé, ce que nous garantissons bien entendu pour chaque objet ou lot de mélange. 

Après un examen approfondi, le chimiste cantonal de Bâle-Campagne nous a confirmé, au nom de tous les cantons, que le matériau de revêtement que nous utilisons est conforme aux prescriptions de la loi sur les denrées alimentaires (règles DVGW, fiche de travail W 270 pour l'utilisation dans le domaine de l'eau potable) et que le matériau de revêtement répond aux directives de la résine époxy pour l'évaluation hygiénique des matériaux organiques en contact avec l'eau potable (directives KTW).